Récapitulatif des avis : Call of Duty : Infinite Warfare

En s’aventurant au-delà de la Terre – et pas seulement les autres planètes, mais à l’espace lui-même, Call of Duty a trouvé la formule pour produire la meilleure histoire depuis des années. Il renforce la notion que la narration d’un jeu est aussi bonne que ces personnages. Compte tenu des accomplissements de campagne dans le combat spatial, il est étonnant de voir qu’aucun effort n’a été fait pour répliquer ses sensations de Zéro-G dans le mode multijoueur de Infinite Warfare. Par conséquent, le mode Zombies bien conçu est une proposition plus attrayante et plus longue pour ceux qui veulent jouer avec des amis. Alors qu’aucun jeu de Call of Duty n’a égalé l’excellence globale de Call of Duty 4 : Modern Warfare, les exploits de Reyes et Ethan sont au moins, aussi mémorables et émouvants que tous les actes de « Soap » MacTavish et John Price pendant la série heyday.

D’une manière ou d’une autre, Infinita Warfare apporte un gros paquet avec beaucoup de gameplay amusant. Il y en a vraiment pour tout le monde et suffisamment pour jouer à ce jeu pour une encore bonne année.

Infinite Warfare est une menace triple et puissante de divertissement : une campagne qui touche les sacrifices de la guerre, un mode multijoueur débordant de personnalisation et un voyage, empreint de nostalgie, dans les années 80 avec le mode Zombies.

Un assemblage de succès et d’échecs, voilà l’unité de mesure pour le nouvel opus de Call of Duty. Je pourrai dire quelque chose sur l’éditeur Ubisoft qui a retiré sa franchise annuelle Assassin’s Creed, ou comment Doctor Who obtient une pause, mais c’est probablement plus simple de rappeler que c’est la saison des tireurs, et cette année, les alternatives sont formidables.

Il s’agit d’un COD solidement divertissant cette année : cohérent et passionnant, mais peut-être sans aucun moment ouvertement exceptionnel. C’est l’un des jeux les plus jolis de la série depuis longtemps, mais en regardant en arrière, j’ai du mal à me souvenir d’un morceau vraiment tueur que je raconterai à mes amis plus tard. Il s’agit plus d’un gros bruit global de l’espace tireur – satisfaisant, mais sans pics massifs mais, plus important encore, pas de creux non plus.